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Pourquoi la sécurité est devenue incontournable pour la protection des données ?

Dans un contexte où les organisations, privées ou publiques, collectent et utilisent chaque jour d’importants volumes de données personnelles, la sécurité des données est devenue un enjeu stratégique majeur. Ces informations, au cœur de la relation client et des processus métier, représentent une forte valeur stratégique, mais exposent aussi les entreprises à de nombreux risques.

Selon le rapport 2024 de l’ANSSI, plus de 50 % des PME françaises ont été victimes d’au moins une tentative de cyberattaque liée à la sécurité des données. À l’échelle mondiale, le coût moyen d’une violation de données est estimé à 4,45 millions de dollars (source IBM).
Ces chiffres rappellent que la confidentialité, l’intégrité et la résilience des données ne sont pas seulement des enjeux techniques : ils conditionnent directement la pérennité et la compétitivité des organisations.

Les menaces sont multiples : cyberattaques, violation de données, vol ou fuites accidentelles, erreurs humaines, ou encore mauvaise utilisation des données par un prestataire. Un incident peut entraîner une perte de confiance, une atteinte à la réputation et des potentielles sanctions financières lourdes.

Protéger les données ne se limite donc pas à installer un pare-feu : il s’agit d’un processus global combinant mesures techniques, organisationnelles et humaines. Cela inclut notamment :

  • la classification des données,
  • le contrôle des accès,
  • la gestion de la durée de conservation,
  • ou encore l’effacement des données en fin de cycle de vie.

Le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) encadre strictement ces pratiques en imposant la confidentialité des données, mais pas uniquement. L’intégrité et la disponibilité des données personnelles sont également des principes clés du texte réglementaire. Les entreprises doivent intégrer la sécurité dès la conception, documenter leurs actions et, en cas d’incident, notifier les autorités compétentes comme la CNIL.

Équipe informatique travaillant sur la sécurité t la protection des données personnelles en entreprise dans le cadre du RGPD

Définition et périmètre de la sécurité des données : exigences et confidentialité

La sécurité des données désigne l’ensemble des pratiques, procédures et outils visant à protéger les informations, en particulier les données personnelles, contre tout accès, modification, utilisation ou destruction non autorisés.

Elle couvre l’ensemble des environnements : systèmes informatiques, bases de données, postes de travail, terminaux mobiles, plateformes cloud, mais aussi supports physiques.

La sécurité des données repose sur trois piliers fondamentaux : la confidentialité, l’intégrité et la disponibilité.

1. Confidentialité des données personnelles

Seules les personnes disposant d’une autorisation légitime doivent accéder aux données. Par exemples, les données RH d’une entreprise ne doivent pas être accessibles par tous les salariés mais limitées au service RH dans le cadre de leurs fonctions.

Ainsi, cela implique la mise en place, par le responsable de traitement, de contrôles d’accès stricts, de systèmes d’authentification renforcés (comme l’authentification multifacteur) et de techniques de masquage des données pour limiter l’exposition des informations et les risques de pertes de données.

2. Intégrité et exactitude des données

Les données ne doivent pas être altérées ou corrompues, que ce soit volontairement ou par erreur. Cela nécessite des mécanismes de vérification, des sauvegardes régulières et des procédures permettant de détecter toute modification non autorisée et cas de perte de données potentielles.

3. Disponibilité et résilience des données

Les données doivent pouvoir être consultées et utilisées par les personnes autorisées, au moment où elles en ont besoin. La résilience des données passe par la mise en place de systèmes redondants, de plans de continuité et de reprise après sinistre, ainsi que par la surveillance proactive des infrastructures.

Classification des données et mesures de sécurité

La classification des données est une étape essentielle dans la gouvernance et la gestion des données. En effet, elle permet d’adapter les protections selon la sensibilité des informations.

Exemples de classification :

  • Données publiques : informations pouvant être librement consultées sans risque, accessibles sans restriction.
  • Données internes : réservées à un usage interne à l’organisation, nécessitant des restrictions d’accès mais sans sensibilité élevée.
  • Données sensibles : informations dont la divulgation pourrait avoir un impact majeur (ex. : données de santé, informations bancaires comme un numéro de carte de crédit).

Chaque catégorie doit bénéficier de protections spécifiques :

  • Chiffrement des données en transit et au repos,
  • Masquage des données dans les environnements de test,
  • Contrôle des accès basé sur les rôles,
  • Limitation de la durée de conservation et effacement des données en fin d’utilisation. A ce titre, l’effacement des données est une étape souvent sous-estimée : il ne s’agit pas seulement de supprimer un fichier, mais de garantir que les informations ne sont plus récupérables. Des procédures sécurisées (effacement certifié, destruction physique de supports) doivent être prévues dès la conception des systèmes.

Dans tous les cas, les mesures de sécurité mises en place doivent toujours être proportionnées au niveau de risque et à la sensibilité des catégories de données concernées.

Par exemple, pour des données de santé, la réglementation impose des protections renforcées et la conformité aux standards Hébergement de Données de Santé (HDS).

Santé & RGPD : les 9 bonnes pratiques pour être conforme en 2025

Données sensibles, hébergeurs, DPO, consentement… Ce guide pratique aide les acteurs de la santé à anticiper les exigences RGPD.

Types de sécurité appliqués aux systèmes et solutions de sécurité des applications

La sécurité des données se décline en plusieurs volets, couvrant à la fois l’infrastructure, les logiciels et les aspects physiques :

1. Sécurité des systèmes : infrastructures et ressources critiques

Protection des serveurs, réseaux, bases de données et systèmes d’exploitation contre les attaques, intrusions et dysfonctionnements. Cela inclut la mise à jour régulière des systèmes, la segmentation des réseaux et l’installation de pare-feu.

    2. Sécurité des applications : conception et correction des failles

    Détection et correction des failles logicielles, gestion des accès aux plateformes et intégration de la sécurité dès la conception des outils pour éviter les violations de données.

      3. Sécurité des postes de travail et appareils des utilisateurs

      Protection des ordinateurs, smartphones et tablettes utilisés par les collaborateurs grâce au chiffrement des disques, aux antivirus, à la gestion des mises à jour et au contrôle des accès.

      4. Sécurité physique : organisation et contrôle des accès

      Protection des locaux, des équipements et des supports physiques contenant des données. Cela inclut la surveillance, les systèmes d’alarme et les restrictions d’accès aux zones sensibles.

      Homme tapant sur un ordinateur portable avec icône d’avertissement, représentant les menaces et risques liés à la sécurité des données

      Les menaces principales qui pèsent sur la sécurité des données

      La sécurité des données est mise à l’épreuve par une multitude de menaces, qui peuvent provenir aussi bien de l’intérieur que de l’extérieur de l’organisation. Leur diversité et leur sophistication grandissante en font un défi permanent pour les entreprises.

      Les menaces internes : erreurs humaines, droits d’accès et manque de sensibilisation

      Souvent sous-estimées, les menaces internes représentent pourtant une part importante des incidents de sécurité. Elles peuvent être accidentelles ou intentionnelles, et sont d’autant plus dangereuses qu’elles proviennent de personnes disposant déjà d’un accès aux systèmes.

      • Erreurs humaines : un simple clic sur un mauvais lien, un mail envoyé au mauvais destinataire ou l’oubli d’effacer des données sensibles avant la réaffectation d’un appareil peuvent suffire à provoquer une fuite. Selon de nombreuses études, l’erreur humaine est impliquée dans plus de la moitié des violations de données.
      • Usage abusif des droits d’accès : lorsqu’un collaborateur dispose de permissions trop larges, il peut accéder à des informations qui ne relèvent pas de ses fonctions. Dans certains cas, cela conduit à des exfiltrations volontaires de données (vol de fichiers clients, transfert vers un concurrent) ou involontaires (copie sur un support non sécurisé).
      • Manque de sensibilisation : l’absence de formation à la sécurité incite à des comportements risqués, comme l’utilisation de mots de passe faibles, l’absence de verrouillage de session ou le partage de documents via des canaux non sécurisés. Un collaborateur non formé peut, sans le vouloir, devenir la porte d’entrée d’une cyberattaque.

      Les menaces externes : cyberattaques, ransomwares et phishing

      Les menaces externes proviennent d’acteurs malveillants – cybercriminels, hackers, groupes organisés – qui exploitent les failles techniques ou humaines pour s’introduire dans les systèmes d’information. Elles sont souvent plus visibles mais aussi plus sophistiquées.

      • Cyberattaques ciblées : exploitation de vulnérabilités logicielles, attaques par force brute sur les mots de passe ou injections SQL dans une base de données. Ces méthodes visent à obtenir un accès direct aux informations sensibles.
      • Malwares et ransomwares : ce type de logiciel malveillant chiffre les fichiers d’une entreprise et exige une rançon pour en rendre l’accès. En plus du risque financier, les ransomwares bloquent l’activité et mettent en péril la continuité des opérations.
      • Phishing et ingénierie sociale : ces attaques consistent à tromper les collaborateurs via de faux emails ou messages (imitant une banque, un fournisseur, un collègue) pour leur soutirer identifiants ou informations sensibles. C’est l’une des techniques les plus utilisées car elle exploite la faiblesse humaine plutôt que la technique.
      • Compromission d’un sous-traitant: la chaîne d’approvisionnement est aujourd’hui une cible privilégiée. Un prestataire disposant d’un accès privilégié aux données (ex. : hébergeur, fournisseur SaaS, infogérant) peut être piraté, ouvrant la voie à une intrusion indirecte dans les systèmes de l’entreprise.

      De plus, les menaces évoluent rapidement : les ransomwares deviennent plus sophistiqués, utilisant l’intelligence artificielle pour contourner les filtres de sécurité ; le phishing ne se limite plus aux emails mais s’étend désormais aux SMS (smishing) et aux appels téléphoniques (vishing).

      Par ailleurs, l’essor de l’IoT (Internet des Objets) et des appareils connectés multiplie les points d’entrée potentiels pour les cybercriminels. Un simple capteur mal sécurisé peut ouvrir la porte à une intrusion massive.

      Enfin, les attaques sur la chaîne d’approvisionnement sont en forte croissance : plutôt que de viser directement une entreprise, les cybercriminels s’attaquent à un fournisseur ou un sous-traitant disposant d’un accès privilégié.

      Exemples concrets d’incidents lié à la confidentialité et à l’effacement des données

      Parmi les incidents courants auxquels les entreprises peuvent être confrontées :

      • Violation de données via intrusion ou piratage : accès illégal aux informations contenues dans une base de données client.
      • Vol de données confidentielles : exfiltration d’informations sensibles par un tiers ou un collaborateur mal intentionné.
      • Divulgation d’informations par négligence : envoi d’un fichier contenant des données personnelles à un mauvais destinataire.
      • Perte ou altération de données : lors d’une migration, d’une panne, ou d’un effacement des données mal exécuté.

      Les conséquences pour une entreprise

      Un incident de sécurité lié à ces menaces peut avoir des répercussions considérables :

      • Sanctions réglementaires : en cas de violation de données personnelles, la CNIL peut infliger des amendes allant jusqu’à 20 millions d’euros ou 4 % du chiffre d’affaires annuel mondial.
      • Atteinte à la réputation : perte de confiance des clients, partenaires et investisseurs, pouvant se traduire par un impact durable sur l’image de marque.
      • Coûts opérationnels élevés : interruptions d’activité, frais de restauration des systèmes, renforcement en urgence des infrastructures et indemnisation des victimes.

      En d’autres termes, les menaces liées à la sécurité des données ne se limitent pas à un risque technique : elles représentent un danger stratégique et financier pour toute organisation.

      Touche de clavier avec symbole de cadenas et texte privacy représentant la sécurité et la protection des données personnelles dans le cadre du RGPD

      Sécurité des données et RGPD : exigences et conformité réglementaire

      Depuis l’entrée en vigueur du RGPD en mai 2018, toutes les organisations qui collectent ou traitent des données personnelles de citoyens européens doivent respecter des obligations strictes en matière de sécurité. L’article 32 du règlement fixe des principes fondamentaux :

      • La sécurité dès la conception (privacy by design) : intégrer la protection des données personnelles dès la phase de conception des systèmes, outils ou services, afin de limiter les risques en amont.
      • La sécurité par défaut (privacy by default) : appliquer les paramètres les plus protecteurs possibles par défaut, sans action supplémentaire de l’utilisateur.
      • La mise en place de mesures techniques et organisationnelles adaptées : chiffrement, anonymisation, gestion stricte des accès, procédures de sauvegarde, politiques internes claires.
      • La documentation et la preuve de conformité : tenir des registres, mettre en place des audits réguliers et être capable de démontrer la conformité à tout moment.

      Ces exigences ne sont pas seulement juridiques : elles se basent sur des références internationales comme l’ISO 27001, le NIST Cybersecurity Framework ou encore les bonnes pratiques de l’ANSSI. Les entreprises peuvent s’appuyer sur ces cadres pour structurer leur démarche.

      Ainsi, au-delà de la contrainte légale, la conformité au RGPD représente un véritable atout concurrentiel. Elle prouve aux clients, partenaires et investisseurs que l’entreprise prend la protection des données au sérieux et qu’elle adopte une démarche proactive de confiance et de transparence.

      Les défis rencontrés par les entreprises dans l’organisation de la sécurité

      Mettre en place une sécurité des données robuste et conforme n’est pas sans difficultés. De nombreuses organisations se heurtent à des obstacles récurrents :

      • La complexité des systèmes et la multiplicité des sources de données : les informations sont souvent éparpillées entre différents logiciels, applications cloud et infrastructures, ce qui complique leur gestion et leur sécurisation.
      • Le télétravail et la mobilité : la généralisation du travail à distance multiplie les points d’accès aux systèmes d’information, souvent depuis des réseaux domestiques ou des appareils personnels moins sécurisés.
      • La chaîne d’approvisionnement : les sous-traitants et partenaires externes ont parfois accès à des données personnelles et parfois même des données sensibles. La responsabilité étant partagée, une faille chez un prestataire peut impacter toute l’organisation.
      • Le facteur humain : erreurs de manipulation, manque de vigilance ou absence de formation peuvent compromettre la sécurité des données, même avec les meilleures solutions techniques.
      • Les contraintes budgétaires : les PME et ETI disposent rarement des mêmes moyens financiers et humains que les grands groupes pour mettre en place des dispositifs de cybersécurité avancés.
      • Les évolutions réglementaires et technologiques : la conformité est une démarche continue. Les textes évoluent, les menaces aussi, ce qui oblige les entreprises à rester constamment à jour.

      Un autre défi majeur réside dans la pénurie de compétences en cybersécurité. De nombreuses entreprises, en particulier les PME, ne disposent pas en interne des ressources humaines qualifiées pour gérer la sécurité des données et suivre les exigences du RGPD. Le recrutement d’experts est coûteux et la concurrence entre organisations pour attirer ces profils est forte. Externaliser certaines fonctions (comme celle du DPO ou la supervision de la sécurité) devient alors une solution stratégique pour combler ce manque.

      Authentification multifacteur 2FA affichée sur un ordinateur portable pour renforcer la protection et la sécurité des données personnelles

      Vers une sécurité et une résilience des données renforcées

      Face aux menaces et aux défis de mise en conformité, les entreprises doivent adopter une approche globale de la protection des données. Cette approche repose sur la combinaison de mesures de sécurité techniques, organisationnelles et humaines, adaptées à la classification des données et au niveau de sécurité requis.

      L’objectif n’est pas uniquement de prévenir les incidents, mais aussi d’assurer la résilience des données : leur capacité à rester disponibles, intactes et exploitables même en cas de panne, d’attaque ou d’erreur humaine.

      • Mesures techniques : chiffrement des données sensibles, masquage et anonymisation des informations, segmentation des réseaux pour limiter les intrusions, tests de pénétration et audits réguliers pour identifier les failles.
      • Organisation et gouvernance : classification des données en fonction de leur criticité, mise en œuvre d’une politique de sécurité claire, gestion rigoureuse du cycle de vie des données (de la collecte à la suppression), et respect de la souveraineté des données.
      • Sauvegardes et continuité d’activité : planification de sauvegardes chiffrées et régulièrement testées, élaboration de plans de reprise après sinistre (PRA) pour assurer la continuité en cas d’incident.
      • Sensibilisation des équipes : formation régulière sur les menaces (phishing, ransomwares, ingénierie sociale) et adoption de bonnes pratiques quotidiennes (mots de passe forts, vigilance face aux emails suspects).
      • Suivi continu : surveillance en temps réel des systèmes, mise en place de tableaux de bord de conformité et réalisation d’audits périodiques pour s’assurer que les mesures restent efficaces et adaptées.

      Quelques exemples :

      • Une entreprise du secteur bancaire peut déployer un chiffrement de bout en bout pour toutes les communications internes et externes afin de protéger la confidentialité des données financières.
      • Dans le domaine de la santé, l’utilisation de serveurs certifiés HDS (Hébergement de Données de Santé) est indispensable pour respecter les exigences réglementaires.
      • Une ETI industrielle peut mettre en place un plan de reprise après sinistre (PRA) permettant de redémarrer ses systèmes critiques en moins de 4 heures après un incident majeur.

      En résumé : La résilience des données repose sur un équilibre entre technologie, organisation et culture interne de la sécurité. Les mesures de sécurité doivent évoluer en permanence pour répondre à la fois aux menaces émergentes et aux exigences réglementaires.

      Deux professionnelles souriantes travaillant ensemble sur un ordinateur portable et consultant un carnet, illustrant la collaboration et la gestion et la sécurité des données en entreprise

      Comment Dipeeo accompagne la sécurité des données et la conformité RGPD

      Pour les entreprises, la mise en conformité et la sécurisation des données peuvent représenter un chantier complexe. C’est là que Dipeeo intervient comme partenaire de confiance. Notre mission est d’aider les organisations à conjuguer sécurité des données et respect du RGPD, grâce à une approche personnalisée et pragmatique.

      Nos services incluent notamment :

      • L’externalisation de la fonction de DPO : un délégué à la protection des données dédié, garant de la conformité et interlocuteur direct avec la CNIL.
      • L’audit et la classification des données : une cartographie précise des flux et des traitements pour identifier les risques et prioriser les actions.
      • La mise en place de solutions de sécurité adaptées : du chiffrement à la gestion des accès, en passant par des outils de suivi et de gouvernance sur mesure.
      • La formation et la sensibilisation des équipes : quiz RGPD pratiques et sessions pédagogiques pour réduire le risque humain, premier vecteur d’incidents.
      • Le suivi, le reporting et l’amélioration continue : un accompagnement dans la durée, pour s’adapter aux évolutions technologiques et réglementaires.

      En résumé, la protection des données et la conformité RGPD ne sont pas seulement des obligations, mais des leviers de confiance et de performance. Les entreprises qui investissent dans une sécurité robuste et une gouvernance claire en tirent un avantage compétitif durable, tout en réduisant considérablement leurs risques juridiques, financiers et réputationnels.

      Samia Rahammia
      Samia Rahammia

      Juriste IT et Data et Chargée de projets marketing